Nature de l’accompagnement

Toutes personnes en état de dépendance sont prises en charge par l’infirmier. D’une durée courte ou indéterminée, l’accompagnement concerne l’intégration des personnes assistées dans le milieu social ou familial, en fonction des consignes établis par le médecin traitant. Dans la plupart des cas, l’infirmier s’occupe des patients fragiles qui viennent de sortir d’une opération, en revanche, les personnes ayant un handicap ont aussi droit aux soins, et à l’attention qu’ils méritent. Mais, face à leur vulnérabilité, les patients sous chimiothérapie ont le plus besoin d’une assistance. Souvent sujets à des malaises, l’infirmier agit en fonction de l’état de l’individu. D’ailleurs dans son rôle, il prend en mains le traitement des malades, notamment le suivi thérapeutique, la surveillance, en plus de dispenser des soins d’hygiène, jusqu’à ce qu’ils retrouvent leur indépendance. Ces soins post-opératoires sont uniquement prodigués par le professionnel de la santé. Dans certains cas, il s’occupe de la partie administration, entre-autres, les pièces importantes à fournir.

Cabinet d’infirmier, soins spécifiques

Afin de bénéficier des services d’un infirmier spécifique, il convient de se rapprocher du cabinet le plus proche de sa région. Mais, avant même de faire appel à l’aide d’un assistant, connaître les différentes prestations permet de situer ses besoins principaux. L’ensemble des soins octroyés, est relatif aux soins de fin de vie à domicile, ou soins palliatifs. On fait référence à l’antibiothérapie, au débranchement de chimio, en particulier, à l’immunothérapie. La pose de perfusion intraveineuse fait partie du travail d’un infirmier, il s’occupe de mettre en marche et de surveiller l’arrêt du médicament. Si le patient se nourrit par gavage ou par nutri-pompe, ce dernier prendra en charge son alimentation par voie artificielle. Par ailleurs, les soins spécifiques incluent plus qu’une simple surveillance. Ils concernent les pansements picl-line, les soins respiratoires, tels que le lavage de sinus et les séances d’aérosol.

Se soigner naturellement

Il est sans doute temps de changer votre mode d’alimentation et d’arrêter de manger de la charcuterie, du chocolat et de boire du café et de l’alcool. Privilégiez les repas légers, les légumes comme les épinards, le céleri, ils feront du bien à cet organe vital. Une tisane de gingembre ou de menthe peut également filtrer et éliminer les toxines de votre foie. Vous pouvez aussi vous tourner vers les soins homéopathiques pour traiter le problème. Les cellules de votre foie peuvent également se régénérer grâce à des huiles essentielles, comme celles à la menthe ou au citron. Consultez toujours un médecin pour savoir quel traitement est adapté dans votre cas.

Les médicaments pour le foie

Il existe plusieurs médicaments et produits servant à drainer le foie et la vésicule biliaire. Vous avez le choix entre les gélules, les comprimés et les ampoules. C’est votre médecin qui vous prescrira ce qui vous sera le plus adapté, surtout si votre cas est grave. Pour traiter les problèmes hépatiques, la phosphatidylcholine peut réguler votre foie sans causer de dommages collatéraux. Elle pourra restaurer et renforcer les cellules et rendre votre foie plus fort pour contrer les agressions. Veillez donc à votre cholestérol, sinon votre foie ne pourra plus filtrer tout le gras et le sucre dans votre corps.

Les causes

La maladie de lyme est une maladie causée par une bactérie spirochète appelée Borreliaburg doferi. Toutes les formes d’activité qui peuvent conduire à un contact avec les tiques peuvent transmettre cette maladie. Faire des travaux agricoles ou bien du camping en forêt peuvent vous exposer à des tiques. Il en est de même des travaux au contact d’animaux susceptibles de contenir des tiques comme les chiens, les chevaux, les bétails et même les écureuils etc…

Les symptômes

Après avoir été piqué par des tiques porteuses de Borrelia burgdoferi, la maladie va évoluer sous trois phases. D’abord la phase primaire où la personne subie une lésion cutanée 3 à 30 j après la piqûre. Cette lésion est d’une forme ovale pouvant aller jusqu’à 50 cm. Ajoutés à cette lésion des maux de tête, des douleurs articulaires et la fatigue.
En absence de traitement, la maladie va évoluer jusqu’à la phase secondaire. Dans cette phase, les lésions persistent, en plus il y a des douleurs articulaires, de l’arthrite. Il y a aussi des maladies cardiaques manifestées par des pertes de connaissance, des palpitations, des douleurs thoraciques. Enfin, la maladie affecte les systèmes neurologiques qui se manifestent par une douleur importante au nerf mais aussi une méningite. En phase tardive, on peut apercevoir une atrophie de la peau, un lymphocytome cutané. Les troubles au niveau de l’articulation demeurent toujours dans cette phase; mais la maladie va toucher la moelle épinière et le cerveau.

Les traitements à adopter

Quand la maladie est en phase primaire, le traitement vise surtout à assurer la disparition des premiers symptômes et prévenir l’évolution de la maladie en éradiquant les germes déjà existant. Plus la maladie évolue plus le traitement varie et peut aller jusqu’à l’hospitalisation. Généralement, un traitement par antibiotique est préconisé, il s’agit alors de l’amoxyciline ou la doxycyline associée à un corticoïdesibil pour les troubles aurico-ventriculaires.

Qu’est-ce qu’un fibrome utérin ?

Il s’agit d’une tumeur du muscle utérin qui peut toucher la moitié des femmes après 40 ans. Cependant, il ne faut pas s’inquiéter, puisque la maladie est généralement bénigne et ne nécessite pas forcément un traitement. Le fibrome utérin peut apparaître sur des zones différentes de l’utérus. On distingue 3 grands types de fibromes selon sa localisation. Le premier est le fibrome sous-séreux qui se trouve à proximité de la surface extérieure de l’utérus et se développe dans le creux abdominal en comprimant péniblement les organes voisins comme le tube digestif et la vessie. Le second est le fibrome interstitiel qui touche la paroi utérine et le troisième est le fibrome sous-muqueux qui touche la cavité utérine. Lorsque le fibrome ne montre pas de symptômes graves et que le concerné ne ressent aucun effet particulier, il n’est pas indispensable de suivre un traitement. Mais si les symptômes sont douloureux et désagréables, par exemple s’il y a des gonflements de l’abdomen ou des saignements, le patient peut suivre un traitement médicamenteux de moins de 6 mois. Le traitement vise à réduire les symptômes et non à éliminer le fibrome. À noter qu’il est impossible de traiter avec des médicaments un fibrome sous-muqueux, il faut toujours réaliser une opération chirurgicale.

Quels sont les traitements pour un fibrome utérin ?

Trois types de médicaments sont généralement utilisés pour le traitement d’un fibrome utérin. D’abord, il y a les progestatifs qui permettent de réduire la croissance de la tumeur. Ce traitement est souvent prescrit lorsque le fibrome engendre une maladie associée à l’endomètre. Ensuite, il y a les anti-fibrinolytiques qui sont dédiés pour lutter contre les saignements. Ces médicaments ne peuvent donc être ordonnés que ponctuellement. Enfin, il y a les antibiotiques non stéroïdiens tels que l’acide méfénamique qui permettent également d’agir contre les saignements.

Les situations favorisant l’hypertension artérielle

Si vous avez eu un parent hypertendu, il y a de fortes de chances que vous le seriez aussi un jour. Il a été en effet prouvé qu’il y a un lien entre les gènes et le risque d’hypertension artérielle. Une personne hypertendue sur deux a au moins un antécédent d’HTA dans sa famille. Les personnes de couleur noire ont deux à quatre fois plus de chance d’en être touchées.
D’autres facteurs externes favorisent également l’hypertension artérielle. La glycirrhyzique, contenue entre autres dans la réglisse, le Zan, le cachou et le coco favorise l’HTA en cas d’excès. Une alimentation trop salée ou trop grasse sont les facteurs de risque les plus courants de l’hypertension. Par ailleurs, l’excès d’alcool n’est pas bon pour la santé cardio-vasculaire en général.

Comment la prévenir

Certaines règles hygiéno-diététiques sont essentielles à la prévention de l’hypertension artérielle. Le sel est particulièrement nocif. Eliminez donc la salière de la table. Méfiez-vous également des plats cuisinés industriels qui sont dans leur majorité riches en sels et en graisse.
En ce qui concerne la consommation d’alcool, essayez de la limiter à deux verres de vin par jour pour les femmes et à trois pour les hommes. Enfin, faites régulièrement des exercices physiques.
C’est le traitement hormonal substitutif de la ménopause (THSM) que certaines femmes décident de suivre pour en pallier les inconvénients. Le THSM prévient notamment le risque d’ostéoporose et atténue les symptômes telles que les bouffées de chaleur et la sécheresse vaginale. Ce traitement fait plus de mal que de bien car outre le fait qu’il augmente le risque d’HTA, il est également cancérogène.